L’idée de partir en Écosse avait fleurit par hasard dans mon esprit alors que je préparais mon voyage en Islande. Sans rien connaître de l’endroit, j’avais l’impression que c’était un lieu parfait pour partir marcher en tente. Quelques mois plus tard, profitant d’un petit creux pré-tournage très bien tombé, me voici à Glasgow, prêt à en découdre avec la West Highland Way.
En fin d’année dernière, je réfléchissais à un endroit où partir courant janvier. J’hésitais à descendre dans le Jura pour me lancer dans le GTJ en raquette mais l’hiver français s’annonçait peu engageant. Où aller, dans ma recherche de froid et de neige ? Et bien… pourquoi pas l’Islande ? Retour en quelques lignes et images sur mes dix jours là bas.
Début avril, j’ai acheté une Varadero 125. Après l’avoir traînée quelques fois entre Paris et Beaune, ainsi qu’en Sologne, je cherchais à partir un peu plus loin durant l’été. Comme les choses sont bien faites, je me suis retrouvé à descendre aux Ateliers du Cinéma pour l’étalonnage de L’un et l’autre se disent et pour des repérages.
L’an dernier, après une longue réflexion et des tonnes de recherches sur la pratique motarde, j’ai fini par passer mon attestation 125. Comment est-ce que ça m’a pris, me direz vous ? L’anecdote est tout bête.
Il y a quelques semaines, je suis parti marcher quelques jours du côté des Trois Épis, un hameau situé dans les Vosges. J’ai beaucoup apprécié l’endroit, très calme avec de nombreux sentiers alentours. J’ai pu marcher du côté de Turckheim, Labaroche, vers le petit et le grand Hohnack, le monument du Galtz… Au delà d’une bouffée d’air frais bienvenue, c’était aussi l’occasion de décrasser un peu mon petit Sigma DP2 Merrill. La compression ne rend pas trop honneur à la précision extrême de cet appareil (qui, pour rappel, ne possède pas de matrice de Bayer), mais voici quelques petites images de mon séjour.